Star Wars: The Destiny
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MJ-L'aube des cendres
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MJ-L'aube des cendres


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MessageSujet: Language   Language Icon_minitimeMer 25 Oct 2006 - 22:27

Le Mando’a:


Le Mando’a est la langue parlée par les Mandaloriens, un ancien peuple millénaire de guerriers qui était déjà presque totalement éteint lorsque la Guerre des Clones éclata. Alors que cette langue était vouée à la disparition, reléguée au plus profond de l’histoire de la galaxie avec l’apogée des Mandaloriens, elle refit surface grâce aux Clones de la République.
Les Clones furent en effet fabriqués d’après le dernier Mandalorien existant, le chasseur de prime Jango Fett. Celui-ci transmis à ses clones un bon nombre de ses connaissances de Mandalorien, dont le langage.
L’héritage mandalorien de Jango était d’ailleurs si fort que les armures des clones étaient directement inspirées des armures mandaloriennes.

Ainsi, certaines classes de clones apprirent le Mando’a et l’utilisaient parfois entre eux.
L’armée clone entière se réappropria également quelques chants de guerre dans cette langue comme Vode An ou Gra’tua Cuun, pour ne citer qu’eux. Les soldats clones de base ne connaissaient du Mando’a que ce qu’ils tiraient des chants de guerre. Les clones plus perfectionnés comme les commandos étaient capables de tenir une discussion en Mando’a. La langue mandalorienne connu ainsi un sursis, mais elle finit par disparaître pour de bon lorsque les Clones furent officiellement au service de l’Empire, le Basic étant la seule langue autorisée par Palpatine dans ses rangs. Boba Fett, le clone naturel et fils de Jango Fett, conserva l’héritage linguistique des mandaloriens.

Ce qui suit est divisé en dix sections :

I. Généralités
II. Verbes
III. Noms
IV. Pronoms
V. Adjectifs et adverbes
VI. Prononciations
VII. Termes et expressions
VIII. Nombres
IX. Chant de beuverie mandalorien
X. Dictionnaire Mando’a-Français


I. Généralités :

Le Mando’a est une langue très simple et régulière. Il n’y a pas de cas particuliers, juste deux formes verbales, un système de préfixe strict et des règles simples pour la création d’adjectifs à partir de noms ou de verbes. L’orthographe et la ponctuation ont des formes optionnelles ce qui rend rares les erreurs grammaticales. Dans une phrase, les adjectifs sont toujours situés avant le nom qu’ils décrivent. Le sujet est toujours placé avant le verbe et le complèment est placé après le verbe. Enfin, le Mando’a est avant tout une langue parlée plus qu’écrite. Les sonorités des mots et des phrases sont donc importantes. Il arrive souvent que des raccourcis phonétiques soient employés afin de rendre la prononciation plus facile ou la phrase plus élégante.


II. Verbes :

Les infinitifs se terminent en –ir, -ar, -ur, -or ou –er. Enlever le « r » permet d’avoir la racine du mot en vue d’une conjugaison.

Parfois une apostrophe sépare la voyelle finale, indiquant la légère pause glottale qui caractérise certains accents mandaloriens. L’apostrophe, qui est connue comme étant un betan (un soupir) en Mando’a, indique également les temps de respiration, la prononciation et les lettres ayant sauté.

Le verbe cuyir (être) est souvent omis et indiqué par l’ordre des mots, comme dans : « ni (cuyi) verd » (« Je suis un guerrier »).
Pour dire « c’est bien », un Mandalorien dira juste le mot pour « bien », soit « jate », plutôt que la forme contractée « bic jate » (« ca (est) bien ») ou la forme complète « bic cuyi jate ».

L’ajout du préfixe « tion » tourne l’affirmation en interrogation. Le préfixe « ke » ou « k’ » indique un ordre. Utiliser « ke » avec l’infinitif est formel, mais dans la vie de tous les jours le verbe perd son « -r » final.

Pour créer la forme négative d’un verbe ou même d’un nom, on ajoute le préfixe « n’ », « nu », « nu’ » ou même « ne » (tout dépend de la facilité de prononciation) devant la phrase toute entière ou la partie négative, en fonction du sens.
La prononciation est toujours un facteur clé dans la détermination des lettres qui sautent à l’oral. Le préfixe négatif dénote souvent un nom négatif, comme « ne’briikase » (mécontent).

Un résumé des formes verbales, en utilisant « jurir » (porter) :
- Ni juri kad : Je porte un sabre.
- Nu’ni juri kad : Je ne porte pas de sabre.
- Ni ven juri kad : Je porterai un sabre.
- Ni ru juri kad : Je portais un sabre.
- Ke jurir kad : Porte ce sabre ! (formel)
- Ke’nu jurir kad : Pose ce sabre ! (littéralement : « Ne porte pas ce sabre ! »)


III. Noms :

Il n’y a pas de genre. Le masculin et le féminin sont traités de la même façon. En fait le genre est sous-entendu, voire explicité, dans le contexte. Lorsqu’il y a besoin d’expliciter clairement le genre, on emploie les adjectifs « jagyc » (masculin) et « dalyc » (féminin).

Il n’y a pas besoin d’accorder le verbe au sujet. Il n’existe qu’une seule forme verbale conjuguée employée partout.

Un système de préfixes indique le temps. Dans le langage familier, les Mandaloriens utilisent seulement le présent, mais ils ont adopté les préfixes « ru » (passé) et « ven » (futur) pour communiquer avec les espèces ayant besoin de temps spécifiques. Il n’existe qu’une seule forme du passé et du futur.

Il n’y a pas de forme passive. Tous les verbes sont actifs. Si besoin, le passif est formé en utilisant l’adjectif + le verbe « cuyir » (s’il est prononcé).

L’article indéfini « eryn » (un, une) est presque toujours omis, sauf pour l’emphase, comme l’article défini « te » (le, la) ou le terme plus pompeux « haar » (le, la).

Le pluriel est formé en ajoutant « -e ». Le « e » est toujours prononcé « é ».


IV. Pronoms :

Comme pour les noms, les pronoms n’ont pas de genre.
- Moi, je : Ni.
- Toi, tu, vous (singulier et pluriel) : Gar.
- Il, elle, lui : Kaysh.
- Nous : Mhi.
- Ils, elles, eux : Val.

Certains sont également possessifs, comme « gar » (ton, ta, tes, votre, vos), « kaysh » (son, sa, ses) et « val » (leurs).


V. Adjectifs et adverbes :

Les adjectis et les adverbes sont formés en ajoutant le suffixe « –la » ou « –yc » (prononcer ish), suivant ce qui rend la prononciation la plus facile. Il n’y a qu’une seule forme d’adjectif.
Même chose pour les adverbes.

Les comparatifs et les superlatifs tendent à être construits à partir des adjectifs avec « –shy’a » pour le comparatif et « –ne » pour le superlatif.


VI. Prononciations :

Le Mando’a est prononcé un peu comme le Basic, à plusieurs exceptions près. Il n’y a pas de « f », de « x » et de « z ». Toutefois, certaines régions prononcent le « p » presque comme un « ph » et le « s » comme un « z ». Ces lettres ont été ajoutées dans l’alphabet écrit mandalorien afin de faciliter la traduction de mots étrangers.

A quelques occasions la prononciation du « t » et du « d » sont échangées. « T » est la forme moderne, « d » est la forme archaïque. « V » et « w » sont parfois également interchangeables, tout comme « b » et « v » (encore une variation régionale). « J » est prononcé « dj », mais on le prononce parfois « y » dans certaines communautés.

Le « h » dans un mot est généralement inspiré, sauf dans sa forme archaïque employée dans des chants et poèmes. « H » est toujours prononcé lorsqu’il apparaît au milieu d’un mot.

La prononciation des consonnes finales varie suivant les chants. Elles deviennent souvent une syllabe supplémentaire. Par exemple, « tor » devient « to-ra » et « tang » devient « tan-ga » pour maintenir le rythme et la mesure.

D’autres points importants :
- « -uy » se prononce « ou-i ».
- « u » se proncone « ou ».
- « cye » se prononce « shé ».
- « -yc » se proncone « sh » après une voyelle.
- « c » se prononce « k » lorsqu’il vient avant un « a » au début d’un mot.
- « c » se prononce « s » lorsqu’il vient avant d’autres voyelles au début d’un mot ou au milieu d’un mot.
- « cy » se prononce « sh » ou « tch ».


VII. Termes et expressions :

Voici une liste de noms, de termes, de dictons et d’expressions faisant partie de la culture mandalorienne :

Noms :
- Behot : Plante utilisée dans des boissons, légèrement antiseptique et stimulante, à l’arôme de citron.
- Beskad : Sabre en fer Mandalorien légèrement incurvé et pointu.
- Beskar : Fer Mandalorien
- Buy’ce gal : Une pinte de bière de la capacité d’un casque.
- Dadita : Code Mandalorien, comme le Morse.
- Kyr'bes : Crâne, en particulier celui du Mythosaur, qui forme le symbole Mandalorien.
- Mand'alor : Dirigeant unique.
- Shig : Boisson. Une infusion de n’importe quoi étant disponible, mais la plupart du temps de behot.
- Shuk'orok : Crushgaunt, une arme Mandalorienne.
- Strill : Un prédateur carnivore à six pattes très intelligent capable de glisser et de voler.
- Tihaar : Boisson alcoolisée très forte, faite à base de fruits, comme de l’eau de vie.
- Uj'alayi : Gâteau Uj. Gâteau plat très dense et doux fait de noix écrasées, de sirop, de fruits séchés réduits en purée et d’épices.
- Uj'jayl : Sirop épais et odorant utilisé en cuisine.

Termes :
- Aay’han : Parfait moment de joie et de recueillement, « se souvenir et célèbrer ».
- Dar’manda : Un état équivalent à ne pas être Mandalorien. Non pas être un étranger, mais avoir perdu son héritage, donc son identité et son âme. Etat redouté par les Mandaloriens les plus traditionnalistes.
- Gai bal manda : Cérémonie d’adoption. Littéralement : « Nom et âme ».
- Jatne manda : Bon état d’esprit. Un sens complexe de ne faire qu’un avec son clan et sa vie.
- Kyr ge'kaan : Findex. Fin d’exercice militaire.
- Manda : L’âme collective. Le fait d’être Mandalorien de pensée, de corps et d’esprit.
- Suum ca'nara : Etat de repos et de paix merveilleux.
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